
UN FILM SUR
le lapdance, les valises à roulettes qui clignotent, la solitude, les cérémonies de remise de prix étrangères, la difficulté de Guitar Hero en mode Expert (mine de rien, ça rassure de voir qu'on n'est pas le seul à le penser) et la paternité.
POURQUOI "Somewhere"?
Parce qu'il faut bien que ça se passe "quelque part" et qu'il fallait bien trouver "something".
LA BLAGUE DU FILM
Le type qui s'endort pendant un cunnilingus.
ÉQUATION
SOMEWHERE = [ (CALIFORNICATION - Les Stones) + Phœnix ] x WONG KAR WAI
UN FILM QUI DONNE ENVIE
de se faire des pancakes avec du bacon, un œuf poché, du cheddar fondu et de la ciboulette.
POURQUOI FAUT-IL Y ALLER?
Parce qu'on ne rate pas un film de Sofia Coppola, surtout quand on l'attend depuis quatre ans.
Pour se réconcilier avec la famille Fanning représentée ici par la talentueuse Elle qui est bien plus douée et ô combien moins insupportable que sa grande sœur Dakotta.
Pour avoir la preuve qu'un plan fixe n'est pas forcément chiant mais peut être beau et intelligent.
POURQUOI NE FAUT-IL PAS Y ALLER?
Parce que depuis que papa refait des films, la petite Sofia n'est plus la plus douée de la famille et qu'elle n'a pas encore pris conscience qu'on ne peut pas se reposer sur ses lauriers éternellement.
Si on n'aime pas les histoires de petites filles gâtées à problème, comme dans Marie Antoinette. Ou Lost in translation. Ou Virgin Suicides. Vous me suivez?
Si on n'aime pas les métaphores sur les grosses voitures.
Parce que, des fois, on tient absolument (peut-être à tort) à ce qu'un film ait un début et une fin.
Parce que les histoires de cul d'un père immature dans le milieu artistique c'est quand même plus marrant dans Californication.
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